Le dimanche 22 janvier, nous organisons une conversation avec Marijke Dekeukeleire, Benedicte Goesaert et Griet Teck sur l'essai visuel lié à l'exposition de Philippe Van Snick. Le modérateur de cette conférence est Els Roelandt.
Lorsqu'un artiste meurt, des questions se posent sur l'héritage artistique matériel mais aussi immatériel. Quelles traces dans l'atelier et l'environnement immédiat de l'artiste restent visibles à sa mort ? Quelles connaissances y sont contenues et comment les mettre à la disposition d'un public plus large ?
A la rencontre de l'intensité est né du désir de rendre visibles les traces associées au moment qui précède ou qui suit la création artistique de Philippe Van Snick. Des images de son studio à Bruxelles sont entrecoupées de vues de son jardin, de son espace de vie personnel et du lointain Le Bos Nord en France.
Pendant un an et demi, Marijke Dekeukeleire, Benedicte Goesaert et la réalisatrice Griet Teck ont travaillé ensemble sur ce projet.
Dans le processus de deuil qui a suivi la mort de l'artiste, la réalisation de ce document cinématographique et la réflexion sur une gestion durable de l'héritage artistique ont pris une place constructive. Outre son rôle de partenaire et de mère, Marijke Dekeukeleire est également responsable de l'avenir de l'œuvre de Philippe Van Snick. À cette fin, elle travaille en collaboration avec Benedicte Goesaert, qui assume le rôle de directrice artistique.
